2024-10-29 CAMOEL Arzal-Trémorel

Nous avons quitté la brume matinal de Vannes pour trouver le soleil en arrivant sur le barrage d'Arzal !!!

43 randonneurs donc tout de suite 2 groupes. Le premiers avec Robert MICHOT, le second avec pierre DENNIEL.

Le premier panorama offre déjà une splendide vue sur le barrage d'Arzal et la Vilaine.

Le barrage d'Arzal (ou barrage d'Arzal-Camoël) est un barrage sur l'estuaire de la Vilaine, entre les communes d'Arzal et de Camoël (Morbihan). Mis en service en 1970, il est principalement destiné à réguler le débit de la Vilaine et à fournir de l'eau potable dans le triangle entre Saint-Nazaire, Auray et Rennes. C'est le plus grand barrage estuarien en Europe destiné à stocker de l'eau douce brute potabilisable et un des rares barrages estuariens dans le monde

L'estuaire de la Vilaine est le dernier parcours de ce fleuve qui court de la Mayenne jusqu'à l'océan Atlantique où elle se jette dans le Mor braz (mor bras » qui signifie « grande mer », par opposition à mor bihan « petite mer») entre la commune de Billiers sur la rive droite côté nord (face au phare de Penlan qui marque pour la navigation l'entrée de l'estuaire depuis le Mor braz) et la commune de Pénestin sur la rive gauche côté sud (au lieu-dit Le Halguen), dans le département du Morbihan. L'estuaire est aujourd'hui fermé par le barrage d'Arzal (qui met en eau le port d'Arzal sur la rive droite, et ceux de Camoël et Férel sur la rive gauche), puis il s'élargit nettement entre la commune de Muzillac (au lieu-dit du Moustoir) sur la rive droite, et le bourg de Tréhiguier au nord-est de Pénestin sur la rive gauche.

Très belle ballade entre terre et bord de la Vilaine que le group 2 a prolongé de 1,6 km (par inadvertance!!!) … mais le beau temps, les paysages et surtout la bonne ambiance ont fait que tout le monde est rentré satisfait de cette randonnée.

Merci Robert Michaud, Michèle RIVIERE, Pierre DENNIEL et Gérard KUZNIK (absent mais qui a participé à la reconnaissance).

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Photos de Michèle RIVIERE et Pierre DENNIEL

Texte de Pierre DENNIEL